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Pour qui voter en cette période de transition ?

Les campagnes électorales deviennent des superproductions médiatiques où l’émotionnel l’emporte sur le rationnel et les budgets flirtent avec les financements opaques.

Ce serait drôle si nous n’étions pas dans une période aussi critique : les nations ont le choix entre la radicalisation destructrice ou bien la transition vers un mode de société qui tourne le dos au « toujours » pour aller vers le « toujours mieux ».

Il ne s’agit pas de renoncer aux acquis de l’ère industrielle, mais de se donner les moyens de donner du temps à la mise en valeur du bien commun immatériel. Car le bien commun immatériel va devenir la source de notre attractivité et donc de notre compétitivité.

 

Une publication pour les électeur

Cette publication met en évidence la forme de démocratie dont nous aurions réellement besoin.

Il en ressort qu’elle demande aux citoyens d’y consacrer du temps. Or, du temps, nous allons en disposer puisque les robots nous relayent dans les usines, les bureaux, les hôpitaux, les tribunaux… etc.

La bascule capitalistique que nous abordons nous donne l’opportunité de reconsidérer le temps que nous consacrons au bien commun immatériel, dont la démocratie.

 

Cette publication est destinée aux citoyens qui souhaitent interpeller les candidats sur le sujet qui les intéressent vraiment : la manière de se préparer aux opportunités qui s’annoncent.

 

Notre démocratie est embryonnaire. Les citoyens aimeraient s’y impliquer, mais ils n’en ont pas les moyens. Or, si notre compétitivité va reposer sur notre attractivité, nous devons aller vers une démocratie « organique », ce qui est possible,notament avec les civic-tech.

La transition démocratique est celle qui va faciliter toutes les autres transitions.