Merci à Marc luycks : « Surgissement d’un nouveau monde, ouvert sur l’infini (ment proche) ». Physicien et théologien et éminente personnalité de l’Union Européenne, il nous a indiqué les mouvements fondamentaux spirituels et sociétaux qui nous amènent à change de société.

 

Merci à Fanny Demassieux : « le local c’est aussi les microbes ». Bien qu’absente en raison de ses nouvelles fonctions, le résumé de son talks, confronté à une vidéo TED, a permis d’ouvrir le débat sur le dilemme entre la chaîne immunitaire et la chaîne nutritionnelle : l’homme, tel qu’il est ne peut pas couper le lien avec la chaîne de vie qui compose la matière vivante de notre planète. Pourtant, la vidéo nous a montré comment la culture hors sol se développe pour pouvoir permettre aux hommes d’aller conquérir le cosmos et plus concrètement pour nourrir les populations en zone de forte concentration urbaine.

 

Merci à Mariam Chammat : « Les illusions du savoir, un danger pour la collectivité ». Elle nous a mis en garde contre les biais cognitifs et les illusions du savoir qui entravent les relations entre les administrés et les institutions. De plus, les illusions de savoir, favorisés par l’accès rapide aux savoirs via Internet, deviennent un outil d’influence qui nécessite la mise en garde des citoyens.

 

Merci à Frank Sprecher : « Si le commerce redevenait de l’échange de services entre des personnes… ». Elle a partagé avec nous son retour d’expérience commerciale dans le domaine des équipements énergétiques. En refusant de devenir un simple installateur aux marges écrasées par le commerce désincarné via Internet, il a construit avec ses clients et ses fournisseurs un commerce coopératif ou chacun prend sa part de risque et donc veille à respecter l’environnement technique et sociétal.

 

Merci à Yassir Kazar : « Hacker pour mieux vivre ensemble ». Puisque le rôle du hacker consiste à déconstruire un système pour mieux le reconstruire ou simplement mieux l’utiliser, il suggère que la culture du packing soit enseignée aux enfants pour les inviter à la créativité mais aussi les inviter à appréhender les mécanismes de la complexité.

 

Merci à Christian Grellier : « Elle est pas belle la vi (ll) e ? ». Il nous a fait rêver avec les zones urbaines sur lesquelles il travaille pour en faire des espaces de partage à l’opposé des villes anonymes dans lesquelles il a grandi.

Merci à Stéphane kirkland : « Impliquons-nous dans le Paris que nous léguons à nos enfants ! ». Il nous a fait prendre conscience que Paris, qui a été une ville exemplaire au 19ème siècle a la possibilité de devenir une ville attractive au 21ème siècle à travers les opportunités de l’aménagement du Grand Paris. Mais, précise-t-il cela dépend de nous, de notre capacité à inciter les politiques à se restructurer et les citoyens à s’impliquer dans les évolutions qui leur sont proposées.

 

Merci à Yannick Meneceur : « Pourquoi la justice résiste-t-elle aux algorithmes ? ». Il nous a permis de mettre de l’ordre dans le brouhaha qui est fait autour de la justice face aux tentations de l’intelligence artificielle et du numérique en général. La numérisation concerne aussi la justice, mais de manière réfléchie au niveau du conseil de l’Europe et avec les Canadiens.

 

Merci à François Xavier Oliveau : « Liberté, précarité, sécurité ? ». Il nous a fait toucher du doigt à quel point le système capitaliste actuel va évoluer, ce qui nous amène à reconfigurer en profondeur notre pacte social.

 

Merci à Elena Lasida : Le local c’est « chez soi » qui nous a offert un temps de poésie dans lequel elle explore le mot « local » dans toutes ses dimensions.

Avec elle, nous avons eu une magnifique synthèse des talks qui ont éclairé tour à tour une des multiples facettes de l’expression « retour au local ».