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Alors, quels sont ces acteurs des énergies renouvelables, de la blockchain et des penseurs des nouvelles monnaies qui vont se lancer dans les nouvelles manières d’aborder la traçabilité, la contractualisation et les transferts de valeur ?

Assurément, les technologies viennent d’Amérique du Nord et l’Europe s’efforce d’y contribuer, mais le vrai apprentissage viendra d'Afrique et d’Europe de l’Est (dont l’Ukraine et surtout l’Estonie, devenue le laboratoire européen de l’e-administration).

L’expérience montre que l’innovation ne coûte pas cher quand elle en est à ses premiers pas. En revanche, courir derrière ceux qui ont essuyé les premiers plâtres coûte de plus en plus cher.

Expérimenter chez les autres n'exonère pas de réfléchir et d'innover. En effet, les technologies dont il est question boulversent nos institutions. Elle sont le vecteur prioritaire du passage d'un monde pyramidal à une mon en réseau.

Si nous n'y prenons garde, nous n’aurons pas vu le monde d’après se construire parce que nous nous contentons des belles images des pays qui auront acquis l'efficacité et l'attrativité qui découlent de ces changements.

 

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