Celui de Pierre Giogini :

Par le biais de la dimension épistémologique, La révolution contributive par Pierre Giorgini (Université catholique de Lille) identifie les leviers de l’accélération « salut-terre » d’une apprenance collective devenue indispensable.
Il tranche le débat d’un futur possible fondé sur une fuite en avant technoscientiste (transhumanisme, géo-ingénierie, eugénisme, maîtrise de l’évolution, etc.), et incite à passer d’une technoscience exodistributive qui centralise l’information, portée par les modèles déterministes et newtoniens, aux modèles plus biologiques et endocontributifs qui diffusent les savoirs à tous les acteurs du système interagissant pour produire une intelligence collective.

 

Celui de Geneviève Bouché :

Économie productive, économie contributive par Geneviève Bouché (la Fabrique du Futur) propose une analyse des facteurs d’évolution de notre modèle de société qui sort de la sédentarisation et dont le dernier chapitre a été l’ère industrielle. Pour poursuivre notre évolution, nous devons faire prospérer le bien commun : la famille, la connaissance et l’innovation, la démocratie et la spiritualité. Cet ouvrage présente la dualité économique productive et contributive qui est à mettre en place ainsi que la synergie qui est à établir entre ces deux espaces de cette contribution humaine. Il étudie également les instruments de gouvernance dont nous allons avoir besoin comme les monnaies intelligentes ainsi que leurs conditions de succès.

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